Lors de mon article initial sur Serilog, j’avais utilisé un puits SQL Server pour l’exemple. Le problème est que si la connexion avec SQL est tombée, il n’y a plus de log. Or un log est sensé fonctionner dans tous les cas et le plus simplement possible. D’où l’intérêt d’avoir un mécanisme de fichier texte de log tournant.

"Serilog": {
    "Using": [ "Serilog.Sinks.File", "Serilog.Sinks.Syslog" ],
    "MinimumLevel": "Warning",
    "WriteTo": [
      {
        "Name": "File",
        "Args": {
         "path": "F:\\\\AwesomeAppLogs\\log.txt",
          "rollingInterval": "Day"
        }
      },
      {
        "Name": "UdpSyslog",
        "Args": {
          "host": "serveur-syslog.domain"
        }
      }
    ]
  }

Pour syslog, j’ai testé 2 puits et sélectionné Serilog.Sinks.SyslogMessages. Par contre dans le fichier de configuration, il faut noter que :

• using : Serilog.Sinks.Syslog
• dans le parametrage, Name peut prendre 3 valeurs : UdpSyslog, TcpSyslog et LocalSyslog

Dans le cas où vous utilisez Splunk comme serveur syslog, le résultat ressemble à la capture ci-dessous:

Si vous avez configuré l’emplacement de vos logs de dev dans la solution, il faut penser à les ignorer dans le commit.

• Pour TFS, il faut créer un fichier .tfignore et le compléter.
• Pour Git, il s’agit du .gitignore.

D’ailleurs le contenu des deux fichiers est similaire.

# See https://docs.microsoft.com/fr-fr/vsts/repos/tfvc/add-files-server?view=vsts#tfignore 
# for more about ignoring files.

# logs
\logs

Références :

https://github.com/serilog/serilog-sinks-file

https://github.com/IonxSolutions/serilog-sinks-syslog

https://docs.microsoft.com/fr-fr/vsts/repos/tfvc/add-files-server?view=vsts#tfignore